:: Astéroïdes de morale en provenance du vide commercial ::

Pendant toute mon adolescence j'ai cherché des réponses à mes questions existentielles dans ce que j'avais sous la main, à savoir la télé, les journaux et les livres d'heroic fantasy ou de S.F. Bien sûr, je n'ai jamais rien trouvé de franchement convaincant. Les idioties, les raisonnements tronqués, les débats stériles, rien de tout cela ne contient quoi que ce soit qui puisse répondre aux interrogations légitimes d'un être humain.

En fait, les médias qui occupent le devant de la scène ne sont pas là pour apporter de réponses ou même susciter une réflexion consistante ; Leur principal rôle est de maintenir la paix civile en valorisant les loisirs décérébrants et en donnant l'impression que d'autres font les démarches de réflexion et de remise en cause du système qui s'imposent, endormant ainsi les élans révolutionnaires/guerriers qui menacent sans cesse notre paix.

Ce n'est pas un mal, c'est même plutôt bien, ceux qui veulent suivre leur propre voie doivent juste en prendre conscience.

"Les filles bien vont au Paradis, les mauvaises filles vont partout." -- (Modern Talking)

"Les larmes d'amour sont des larmes glacées." -- (Modern Talking)

"Si tu sais ce que je ressent et que nous ressentons la même chose, alors tu n'es pas seule." -- (Modern Talking)

"Des dragueurs y'en a par dizaines, on sait où ça nous mène." -- (Lorie)

"Quand vers moi il regarde, un oiseau se pose sur ma main." -- (Lorie)

"On serait plus forts demain si on pouvait se donner la main." -- (Lorie)

"Je me déteste et je veux mourir." -- (Kurt COBAIN du groupe Nirvana)

"Jour après jour, On voit combien tout est éphémère, Alors vivons pendant qu'on peut encore le faire." -- (Corneille)

"Je m'appelle Buck. Ca rime avec fuck." -- (Kill Bill)

"Le déni est la plus prévisible des réponses humaines." -- (Matrix II)

"Tout le monde parle d'infarctus, de cirrhose, de cancer, ben moi j'dis que la pire maladie des hommes c'est de donner tout son amour à une seule bonne femme." -- (Le Pacha)

"Oui chez-moi, quand les hommes parlent, les gonzesses se taillent !" -- (Les tontons flingueurs)

"Les taches enseignent la vie" -- (SKIP)

"TNT, il fallait l'invenTNT !" -- (Un pubeux fatigué)

"Je suis convaincu que la chose la plus triste qui puisse arriver à l'Humanité serait de se contenter de gérer les affaires courantes au lieu d'évoluer" -- (Linus TORVALDS)

"Quand la haine des Hommes ne comporte aucun risque, leur bêtise est vite convaincue, les motifs viennent tout seuls" -- (Louis-Ferdinand Céline)

"C'est par les odeurs que finissent les êtres, les pays et les choses" -- (Louis-Ferdinand Céline)

"Toujours j'avais redouté d'être à peu près vide, de n'avoir en somme aucune sérieuse raison pour exister" -- (Louis-Ferdinand Céline)

"Autant pas se faire d'illusions, les gens n'ont rien à se dire, ils ne se parlent que de leurs peines à eux chacun, c'est entendu" -- (Louis-Ferdinand Céline)

"[...]Un radin d'ailleurs, ce compère, qui m'agréa pour un tout petit salaire, mais avec un contrat et des clauses longues comme ça, toutes à son avantage évidemment. Un patron en somme." -- (Louis-Ferdinand Céline)

"ça devient comme un lac sans rivière une tête fermée, une infection" -- (Louis-Ferdinand Céline)

"La grande fatigue de l'existence n'est peut-être en somme que cet énorme mal qu'on se donne pour demeurer vingt ans, quarante ans, davantage, raisonnable, pour ne pas être simplement, profondément soi-même, c'est-à-dire immonde, atroce, absurde. Cauchemar d'avoir à présenter toujours comme un petit idéal universel, sur-homme du matin au soir, le sous-homme claudicant qu'on nous a donné." -- (Louis-Ferdinand Céline)

"C'est clair qu'il faut booster l'intelligence, c'est pour ça qu'il faut l'eugénisme." -- (Guillaume DUSTAN)

"Quand libèrerons-nous les arbres et les enfants ? C'est déjà fait, dans les forêts, la nuit par 1000 BPM, sous C, sous X, en TAZ." -- (Guillaume DUSTAN)

"Les gouvernements du monde sont pour la syphilis, les MST et le sida, ils trouvent ça normal, ça punit le sexe, ça ne les dérange pas." -- (Guillaume DUSTAN)